dimanche 15 mars 2009

Le jour de l'an Sauvage

De tous nos rendez-vous, l'immanquable est le jour de l'an. C'est le moment de nous retrouver le temps de quelques jours, autour d'une nouvelle aventure. Point de discussions sur nos moments passés loin les uns des autres, c'est comme si nous ne nous étions jamais quittés.

Cette fois, c'est dans les Cévennes que nous partîmes passer la nuit, sous une cabane de branches entourés par la nature sauvage et enneigée.











dimanche 22 février 2009

Toulouse

Me voici donc à Paris, loin des montagnes vertes et de nos merveilleuses aventures. Prisonnier de la cité, je ne pense qu'au moment ou je pourrais repartir. Je cherche donc à rendre visite au reste du groupe le plus souvent possible, même si je dois pour cela traverser toute la France jusqu'à Toulouse. Tout ces changements me détraquent, mais avec eux tout va bien.
Avec eux, même à Toulouse, les aventures continuent.









mardi 13 janvier 2009

Les bouleversements

C'est une fin d'été que Myrtille et moi nous sommes mis officiellement ensemble.
Les vacances touchaient à leurs fin, je venais d'emménager dans mon nouvel appartement parisien. Le groupe que nous formions commençait à se diviser... En fait c'est plutôt moi qui était contraint de m'éloigner de tous, puisque Myrtille, Mayeul, Krum, Bérenger et Marie allaient s'installer à Toulouse. Basile étudiais à Bordeaux, et JeanGastiBelza était toujours quelque part dans l'Himalaya.
J'était conscient que de grands changements intervenaient dans mon existence, beaucoup à la fois et plus tôt que je ne le pensait.
A la fin de mon emménagement à Paris, à quelques jours de la rentrée, je décidait de revenir une dernière fois dans le Cantal, pour retrouver les montagnes vertes, les copains et surtout Myrtille, qui travaillais alors pour la maman de Bérenger...







Le théatre de rue d'Aurillac

En août, à lieu le Festival de Théâtre de rue d'Aurillac. Durant cette courte periode de 3 jours, la ville devient le lieu de pelerinage de plusieurs miliers de baroudeurs, artistes, punks et autres jeunes dévergondés.
Plusieurs fois nous nous y retrouvâmes, pour profiter de l'ambiance anarchique toute empreignée d'odeurs de déjections humaines et canines, mais surtout pour se retrouver et échanger de fuguaces moments de joie débridée, dans un cadre de dégénérescence sociale et démographique rare.