dimanche 7 décembre 2008

Chez Myrtille



Il y eu l'anniversaire de Myrtille, où j'eus l'occasion de me rendre chez elle pour la première fois.
Je découvris une maison chaleureuse et conviviale, ou les gros mots sont interdits.
Myrtille et sa famille se plaisaient à organiser un grand nombre de fêtes tout au long de l'année, sous toutes sortes de prétextes, nous eûmes ainsi l'occasion d'y revenir de nombreuses fois, même s'il fallu pour cela bien nous tenir et faire parfois la vaisselle.












dimanche 23 novembre 2008

Happy Trip

Nous aimons les montagnes. Après les Pyrénées et le Massif Central, et avant les Cévennes, L'une de nos plus grandes aventures se déroula dans les Bauges. Avec un unique âne, profitant des beaux jours de la fin de l'été, nous entreprîmes de traverser le massif.


















Les pyrénées

Il y eu les Pyrénées.
Margot, une amie de Myrtille, possède là-bas un chalet familial. Nous fûmes conviés à venir y passer quelques jours d'hivers, pour son anniversaire. C'est à ce moment que je fit réelement connaissance avec Myrtille, avec qui je ne communiquais jusqu'alors que par mails. Elle fut également heureuse de rencontrer Mayeul, et connaissait déjà Basile depuis quelques temps.

















lundi 17 novembre 2008

Bloody New Year

Il y eu Pierre.
Il fu dès les premiers instants admis comme un membre a part entière du groupe, mais son caractère nous entraina dans de nombreuses situations d'un agrément incertain. Pierre n'avait malheureusement pas les capacités ni les qualitées nécessaire à la réalisation de nos aventures et à le bonne entente du groupe.

C'est un premier de l'an, à minuit, que prirent fin les activitées de Pierre au sein du groupe.








mercredi 12 novembre 2008

Retour au Collège

A peine sorti du Collège, nous n'avions qu'une envie: Y retourner.
A peine Lycéens, nous étions déjà nostalgique de notre jeunesse collégienne.

Ainsi, moi et mon tant estimé homonyme, décidâmes de revenir dans ce lieu qui nous était si cher. Nous partîmes sans vraiment de bagages, comptant sur notre naturelle habileté à nous en sortir en toutes circonstances, ainsi que sur les relations presque familiales que nous avions noués avec les professeurs du collège.





Finalement, nous trouvâmes refuge le temps d'une nuit à l'intérieur même de l'internat qui, après une mémorable bataille de polochons avec les nouveaux élèves, nous apparu comme le plus douillet des nids. Il nous fallut compter avec le nouveau principal du collège, qui fut nommé par le gouvernement, désireux de fermer l'établissement qui remettait en cause toute la pédagogie de l'état. Ce personnage présentait les qualités nécessaires. D'une ouverture psychologique proche du néant, d'un caractère exécrable et au conservatisme exacerbé. Il fout la cause de notre réveil précipité ce matin là.